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  • QUAND MACRON INSULTE L’HISTOIRE

    QUAND MACRON INSULTE L’HISTOIRE...

    ET LA FRANCE !...


    Vous trouverez à la suite de cet article, deux annexes, deux textes infiniment précieux pour illustrer ce sujet.

    Ne pas inviter la Russie aux commémorations du débarquement de Normandie, c’était une inimité.

    Inviter Vladimir Zelinsky à ces mêmes cérémonies c’est à la fois une injure et une provocation faite à la Russie.

    Emmanuel Macron agit comme un butor et un provocateur.

    La vérité historique est la suivante.

    L’Hitlérisme ne dérangeait nullement les bourgeoisies occidentales qui le considéraient au contraire comme une opportunité. Hitler avait fait de l’Allemagne, avec l’aide de la Grande Bretagne et des USA, une terrible machine de guerre qui allait les débarrasser de l’Union Soviétique, cette créature qui démontrait que le capitalisme n’était pas nécessaire au fonctionnement des sociétés humaines. L’Eglise de Rome de même qui voyait dans les armées hitlériennes les « anges vengeurs » qui allaient égorger les « sans Dieu » comme elle les appelait, et cerise sur le gâteau reprendre ses droits en terre d’orthodoxie.

    C’est pourquoi le Parti catholique Allemand « Zentrum » et le nonce apostolique « Eugénio Pacelli » futur Pie XII, jouèrent à fond la carte hitlérienne. Le nonce apostolique intercéda auprès du Président d’alors de la république allemande, le Maréchal Paul von Hindenburg qui rechignait à le faire, pour qu’il accepte de nommer Hitler à la chancellerie, et Von Papen dirigeant du « Zentrum » proposa à Hindenburg » que la nomination d’Hitler se fisse en binôme avec lui-même. ; comme vice chancelier, manière de sucrer un peu la potion amère.

    Puis il y eut le fameux pacte de Munich. Celui dont tous les historiens ont parlé, qui serait la honte des diplomaties Anglaises, Françaises, lesquelles auraient alors faillit face aux prétentions de chancelier allemand. Mais est-ce bien comme cela qu’il convient de lire cet épisode de l’Histoire ? La France et l’Angleterre en vérité n’avaient nulle envie d’entraver la marche d’Hitler vers l’Est ; telle est la vérité qui explique les « accords de Munich ».

    Ils ne voulaient pas entraver la marche vers l’Est de la machine de guerre allemande, mais cela ne les empêchait tout de même pas d’être inquiet de la montée en puissance du Reich allemand. Suite à l’invasion de la Pologne (……….) la France et l’Angleterre déclarèrent la guerre à l’Allemagne, pour marquer leur inquiétude, et signifier, jusqu’où à leur sens, l’Allemagne était autorisée à aller trop loin. Mais elles restèrent, l’arme au pied. C’est ce que l’on appela la « drôle de guerre » ( 3 septembre 1939, 10 mai 1940). Dans la perspective de Barbarossa il convenait de ne pas embarrasser Hitler avec l’ouverture d’un front ouest.

    Hitler a compris le message. La France et l’Angleterre souhaitent lui voir « bouffer » la Russie soviétique, mais elle lui tomberons dessus au moment opportun pour ne pas le laisser accumuler une trop grande puissance qu’il ne manquerait pas de retourner contre elles et leurs empires coloniaux.

    La « drôle de guerre » prend fin le 10 mai 1940, mais non pas à l’initiative, ni de l’Angleterre ni de la France, qui ont déclarée la guerre 8 mois avant mais n’attaque toujours o=pas. ; mais à celle de l’Allemagne qui contourne la ligne Maginot par les Ardennes.

    Assurée sur leurs arrières les armées du Reich (de mille ans) peuvent se lancer à l’assaut de la citadelle « rouge ».

    22 juin 1941, déclenchement de l’opération Babarossa. Les Armées hitlériennes attaquent l’Union Soviétique, les anglosaxons s gardent bien d’ouvrir un nouveau front qui soulagerait l’Armée Rouge ».

    On attendra que la « bête » ait dévoré l’Union soviétique pour lui tomber sur le poils et limiter ses prétentions.

    Mais, scénario inattendu, l’Armée rouge résiste, elle arrête l’avancée allemande près de Moscou, (………) et renverse la situation à Stalingrad, au terme de 5 mois et demi de lutte acharnée (11 juillet 1942, 2 février 1943) (1 million 130 mille tués ou blessé Soviétiques, 760 000 allemands). Là, vient de s’opérer le grand renversement stratégique de la situation militaire. L’armée allemande va douter dès lors de son invincibilité. Les soviétiques prennent la contre-offensive. Les armées allemandes ne vont plus cesser de reculer. Boutées hors à travers toute l’Europe.

    Pas question de laisser l’Armée rouge arriver la première à Berlin ; Pas question de laisser à Staline lauriers de la victoire sur le nazisme.

    Les armées du Reich ont faillit dans la mission historique qui leur était dévolue d’occire l’URSS. Plus la peine de s’obstiner. La Russie soviétique va emporter la victoire. Il n’y a dès lors plus qu’une chose à faire : « voler au secours de la victoire ». Telle est la véritable manière dont il convient d’interpréter le débarquement de Normandie.
    Deux ans que Staline priait Roosevelt et Churchill d’ouvrir un deuxième front à l’ouest ; Ca y est, il va l’avoir son deuxième front « le moustachu ».

    Voler au secours de la victoire ? Les Russes sont à Berlin. Les anglosaxons sont eux encore de l’autre côté du Rhin. Ils s’empressent, le 7 mai 1945 d’acter à Reims la reddition de l’Allemagne par la signature de Maréchal Jodi. Tentant ainsi deloler à l’Uni n soviétique « les lauriers de la victoire ».

    Mais Staline proteste. La reddition Allemande doit avoir lieu à Berlin. Staline lui, que l’histoire insultera plus tard, a en cette affaire cette grandeur d’âme et de jugement que n’ont pas ses alliés anglo-saxons. Lui ne veux pas s’approprier la victoire, il consent à la partager. En présence du Maréchal Joukov. Cette deuxième capitulation est signé le 8 mai à heures, c’est déjà le 9 mai à Moscou. C’est pourquoi nous fêtons la victoire sur le nazisme le 8 mai et les Russes le 9.

    Staline souhaitait l’ouverture d’un front occidental, afin d’alléger la pression des armées allemandes sur le front de l’Est. S’avait été l’un des enjeux de la conférence de Téhéran en novembre 1943. Le débarquement de Normandie n’eut lieu qu’un an et demi plus tard, en juin 1944. L’URSS avait fait face quasiment seule à l’Allemagne nazie durant 3 longues années et demi. Mais ce débarquement de Normandie, qui se produisait enfin, qu’eut-il été si la contre-offensive Russe n’avait éreinté les armées du Reich, affectant profondément leur moral et leur aptitude au. Combat ? Si plutôt que tenter désespérément d’enrayer l’avancée de l’Armée rouge, les armées allemandes avaient eu les disponibilités nécessaires pour faire face au débarquement de Normandie. Celui-ci aurait probablement tourné au fiasco, en tout cas au bain de sang. Ce ne sont pas 146 milles soldats que les anglo-saxons auraient laissé dans la bataille, mais probablement plus ‘un million.

    Alors ! Alors ! Peut-on dire Sans proférer une injure à l’endroit de l’Union Soviétique et de la Russie que ce sont « les américains qui nous ont libéré » ? Peut-on dire, sans craindre l’outrance et le mensonge, comme l’a chanté Michel Sardou « Si les ricains n’étaient pas là nous vivrions tous en Germany » ?

    Les « Ricains » ont débarqué un peu tard, après avoir attendu longtemps que les barbares nazis aient fait le plus de dégâts possibles en URSS. Et ils ne sont pas venus pour nous libérer mais pour prendre leur part du gâteau, leurs dividendes de la guerre, pour nous occuper, nous soumettre économiquement (CF plan Marshall). Faire de l’Europe occidentale une colonie américaine. Ce qu’en disait le Général De Gaulle en 19.. est tout à fait édifiant. (Voir texte en annexe).

    Macron se conduit comme un maroufle.et un inculte. En n’invitant pas la Russie aux commémorations du débarquement de Juin 1944 il commet une inimité et une injure à l’endroit de ceux qui ont consenti le plus grand sacrifice dans la guerre contre le nazisme. Mais en invitant le Président Ukrainien qui fricote avec les héritiers d’extrême droite de Bandera allié d’Hitler et responsables de massacres de masse en Ukraine, de communistes, polonais et juifs entre (Shoa par balle), ce n’est plus une simple injure qu’il profère, c’est une pire insulte, un crachat historique, non pas seulement à l’endroit de Vladimir Poutine et de la Russie, mais à la mémoire de tous ceux qui ont donné leurs vie dans cette lutte titanesque contre l’aigle noir. Mais insulte à la France aussi en la rendant responsable d’une telle ignominie.

    On ne peut même pas dire que Macron a franchit là le Rubicon. Il y a fort longtemps déjà que cet ostrogoy aurait du être elliminé des plates bandes du pouvoir.


    Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr » Jeudi 6 juin 2024.


    Annexe 1. Sur la mystification historique. Texte trouvé sur le fil Facebook.


    Chaque année le révisionnisme grandit au moment de la commémoration du 6 juin.
    Aussi je diffuse ce petit texte d'un sociologue et économiste belge, Nicolas Hirtt qui précise les contributions de chaque pays à l'écrasement du nazisme, écrit il y a une quinzaine d'années.
    JMB.

    "6 juin : commémoration ou mystification ?

    Par leur accumulation et par leur caractère unilatéral, les commémorations du soixantième anniversaire du Débarquement sont en train d'installer, dans la conscience collective des jeunes générations, une vision mythique, mais largement inexacte, concernant le rôle des États-Unis dans la victoire sur l'Allemagne nazie.

    L'image véhiculée par les innombrables reportages, interviews d'anciens combattants américains, films et documentaires sur le 6 juin, est celle d'un tournant décisif de la guerre. Or, tous les historiens vous le diront : le Reich n'a pas été vaincu sur les plages de Normandie mais bien dans les plaines de Russie.

    Rappelons les faits et, surtout, les chiffres.

    Quand les Américains et les Britanniques débarquent sur le continent, ils se trouvent face à 56 divisions allemandes, disséminées en France, en Belgique et aux Pays-Bas. Au même moment, les Soviétiques affrontent 193 divisions, sur un front qui s'étend de la Baltique aux Balkans. La veille du 6 juin, un tiers des soldats survivants de la Wehrmacht ont déjà enduré une blessure au combat, 11 % ont été blessés deux fois ou plus. Ces éclopés constituent, aux côtés des contingents de gamins et de soldats très âgés, l'essentiel des troupes cantonnées dans les bunkers du mur de l'Atlantique. Les troupes fraîches, équipées des meilleurs blindés, de l'artillerie lourde et des restes de la Luftwaffe, se battent en Ukraine et en Biélorussie. Au plus fort de l'offensive en France et au Benelux, les Américains aligneront 94 divisions, les Britanniques 31, les Français 14. Pendant ce temps, ce sont 491 divisions soviétiques qui sont engagées à l'Est.

    Mais surtout, au moment du débarquement allié en Normandie, l'Allemagne est déjà virtuellement vaincue. Sur 3,25 millions de soldats allemands tués ou disparus durant la guerre, 2 millions sont tombés entre juin 1941 (invasion de l'URSS) et le débarquement de juin 1944. Moins de100 000 étaient tombés avant juin 41. Et sur les 1,2 million de pertes allemandes après le 6 juin 44, les deux tiers se font encore sur le front de l'Est. La seule bataille de Stalingrad a éliminé (destruction ou capture) deux fois plus de divisions allemandes que l'ensemble des opérations menées à l'Ouest entre le débarquement et la capitulation. Au total, 85 % des pertes militaires allemandes de la Deuxième Guerre mondiale sont dues à l'Armée rouge (il en va différemment des pertes civiles allemandes : celles-ci sont, d'abord, le fait des exterminations opérées par les nazis eux-mêmes et, ensuite, le résultat des bombardements massifs de cibles civiles par la RAF et l'USAF).

    Le prix payé par les différentes nations est à l'avenant. Dans cette guerre, les États-Unis ont perdu 400 000 soldats, marins et aviateurs et quelques 6 000 civils (essentiellement des hommes de la marine marchande). Les Soviétiques, quant à eux, ont subi, selon les sources, 9 à 12 millions de pertes militaires et entre 17 et 20 millions de pertes civiles. On a calculé que 80 % des hommes russes nés en 1923 n'ont pas survécu à la Deuxième Guerre mondiale. De même, les pertes chinoises dans la lutte contre le Japon - qui se chiffrent en millions - sont infiniment plus élevées - et infiniment moins connues - que les pertes américaines.

    Ces macabres statistiques n'enlèvent bien évidemment rien au mérite individuel de chacun des soldats américains qui se sont battus sur les plages de Omaha Beach, sur les ponts de Hollande ou dans les forêts des Ardennes. Chaque GI de la deuxième Guerre mondiale mérite autant notre estime et notre admiration que chaque soldat russe, britannique, français, belge, yougoslave ou chinois. Par contre, s'agissant non plus des individus mais des nations, la contribution des États-Unis à la victoire sur le nazisme est largement inférieure à celle que voudrait faire croire la mythologie du Jour J. Ce mythe, inculqué aux générations précédentes par la formidable machine de propagande que constituait l'industrie cinématographique américaine, se trouve revitalisé aujourd'hui, avec la complicité des gouvernements et des médias européens. Au moment ou l'US Army s'embourbe dans le Vietnam irakien, on aura du mal à nous faire croire que ce serait le fait du hasard...

    Alors, bien que désormais les cours d'histoire de nos élèves se réduisent à l'acquisition de "compétences transversales ", il serait peut-être bon, pour une fois, de leur faire " bêtement " mémoriser ces quelques savoirs élémentaires concernant la Deuxième Guerre mondiale :
    - C'est devant Moscou, durant l'hiver 41-42, que l'armée hitlérienne a été arrêtée pour la première fois.
    - C'est à Stalingrad, durant l'hiver 42-43, qu'elle a subi sa plus lourde défaite historique.
    - C'est à Koursk, en juillet 43, que le noyau dur de sa puissance de feu - les divisions de Panzers - a été définitivement brisé (500 000 tués et 1000 chars détruits en dix jours de combat !).
    - Pendant deux années, Staline a appelé les Anglo-Américains à ouvrir un deuxième front. En vain.
    - Lorsqu'enfin l'Allemagne est vaincue, que les Soviétiques foncent vers l'Oder, que la Résistance - souvent communiste -engage des révoltes insurrectionnelles un peu partout en Europe, la bannière étoilée débarque soudain en Normandie..."

    Nico Hirtt
    Enseignant, écrivain



    Annexe 2 : Une expression du Général De Gaulle inhumée fort à propos. Trouvée sur le fil Facebook.



    Pour mémoire : Juin 1964, le Général de Gaulle refusa de participer aux commémorations du débarquement de 1944 :

    « La France a été traitée comme un paillasson. [...] Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons ! »

    En octobre 1963, il expliqua son choix à Peyrefitte qui l'interrogeait : « Eh bien, non ! Ma décision est prise ! La France a été traitée comme un paillasson ! Churchill m'a convoqué d'Alger à Londres, le 4 juin. Il m'a fait venir dans un train où il avait établi son quartier général, comme un châtelain sonne son maître d'hôtel. Et il m'a annoncé le débarquement, sans qu'aucune unité française ait été prévue pour y participer. Nous nous sommes affrontés rudement. Je lui ai reproché de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volonté européenne (il appuie). Il m'a crié de toute la force de ses poumons : "De Gaulle, dites-vous bien que quand j'aurai à choisir entre vous et Roosevelt, je préférerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons à choisir entre les Français et les Américains, nous préférerons toujours les Américains ! Quand nous aurons à choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large !" (Il me l'a déjà dit. Ce souvenir est indélébile.)

    Le débarquement du 6 juin, ç'a été l'affaire des Anglo-Saxons, d'où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s'installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s'apprêtaient à le faire en Allemagne ! Ils avaient préparé leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l'avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis.

    C'est exactement ce qui se serait passé si je n'avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous- préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j'aille commémorer leur débarquement, alors qu'il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n'est pas là !

    Et puis, ça contribuerait à faire croire que, si nous avons été libérés, nous ne le devons qu'aux Américains. Ça reviendrait à tenir la Résistance pour nulle et non avenue. Notre défaitisme naturel n'a que trop tendance à adopter ces vues. Il ne faut pas y céder !

    En revanche, ma place sera au mont Faron le 15 août, puisque les troupes françaises ont été prépondérantes dans le débarquement en Provence, que notre 1re Armée y a été associée dès la première minute, que sa remontée fulgurante par la vallée du Rhône a obligé les Allemands à évacuer tout le Midi et tout le Massif central sous la pression de la Résistance. Et je commémorerai la libération de Paris, puis celle de Strasbourg, puisque ce sont des prouesses françaises, puisque les Français de l'intérieur et de l'extérieur s'y sont unis, autour de leur drapeau, de leur hymne, de leur patrie ! Mais m'associer à la commémoration d'un jour où l'on demandait aux Français de s'abandonner à d'autres qu'à eux-mêmes, non !

    Les Français sont déjà trop portés à croire qu'ils peuvent dormir tranquilles, qu'ils n'ont qu'à s'en remettre à d'autres du soin de défendre leur indépendance ! Il ne faut pas les encourager dans cette confiance naïve, qu'ils paient ensuite par des ruines et par des massacres ! Il faut les encourager à compter sur eux-mêmes ! Allons, allons, Peyrefitte ! Il faut avoir plus de mémoire que ça ! Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons ! Je n'ai aucune raison de célébrer ça avec éclat. Dites-le à vos journalistes.

    Ceux qui ont donné leur vie à leur patrie sur notre terre, les Anglais, les Canadiens, les Américains, les Polonais, Sainteny et Triboulet [représentants du gouvernement lors des cérémonies, note de moi] seront là pour les honorer dignement. »

    Une fois ceci écrit, hommage soit rendu à tous les hommes qui se sont battus, et particulièrement vaillamment qui plus est, ce jour-là et, dès la veille, comme les SAS français parachutés en Bretagne pour y immobiliser les troupes d'occupation qui s'y trouvaient.

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