Un individu fait actuellement des vagues à la « chambre basse » du parlement français. Bon, ce n’est pas la première fois ; Habib Mayer est même familier du fait. Mais là c’est un peu trop. Citoyen Franco israélien, cet homme n’est donc pas un simple député français. C’est un député « franco israélien ». On réalise tout à coup qu’une puissance étrangère peut avoir ses propres députés au parlement français.

Partisan de l’aile droite la plus radicale du « Likoud », opposé à la reconnaissance de l’Etat palestinien, soutien de la colonisation, approuvant les crimes de guerre et les droits humains, apologiste du génocide Israélien en cours à Gaza, cet individu patibulaire mérite sans nul doute d’être mis au banc de l’Humanité.

J’entendais le député David Guiraud aux prises (verbale) avec cet individu dire qu’il était un porc. Ouh là là ! Le porc, pensez un peu, cet animal « impur », pour les juifs (comme pour leurs cousins arabes), le porc nécessairement fils d’une truie. La truie ! qu’elle truie ? La « Judensau », la truie des juifs ? Insulte (antisémite) suprême. Vous allez voir monsieur que le crime représenté par Habib Mayer va se saisir de cette maladresse pour poursuivre la vertu que vous invoquiez : « Injure antisémite ». Je sais, ce n’est pas ce que vous avez dit ni même pensé ; Ça ne les impressionne nullement. L’amalgame auquel vous n’aviez pas même songé ils le feront allègrement. Rien ne les arrête, en matière d’insultes de propagande et de mensonges ils n’ont aucune leçon à recevoir du docteur Goebbels. Ne font-ils pas couramment à présent cet autre amalgame, tout aussi inadéquat, entre Sionisme et antisémitisme ?

Quoiqu’il en soit vous avez eu tort tout de même monsieur Guiraud, vous vous êtes exposé maladroitement. Non, Habib Meyer n’est pas un porc. Censé être la représentation de la saleté, physique, ou morale, le porc n’en est pas moins un animal pacifique, toujours victime, jamais assassin. Monsieur Habib Mayer est bien plus que cela, c’est un MONSTRE, c’est un loup enragé, c’est un boucher, c’est une hyène à la mâchoire ensanglantée, c’est une « bête humaine maléfique ». C’est un guerrier de l’apocalypse.

Je ne m’étais guère jusque-là attardé sur l’existence de ce personnage turbulent. Afin de me mettre au parfum j’ai consulté ce matin sa fiche Wikipédia. Cet homme d’affaire « franco-israélien » (conflit d’intérêts) est l’ami personnel de Menahem Begin et de Benyamin Netanyahou, il a commencé sa vie militante au « Bétar » ce mouvement des jeunesses fascistes juive.

Et pendant ce temps il y a des imbéciles qui cherchent des ingérences étrangères du côté de la Russie. Alors qu’ils sont là, sous nos yeux les agents des puissances étrangères. Meyer Habib en est un. C’est un agent d’Israël en France. Israël vous savez, cet « Etat de poche » du Moyen-Orient, qui n’est en vérité que le bras meurtrier de l’Amérique dans cette région du monde. Il est militant et apologiste du Sionisme, cette idéologie colonialiste fasciste dont une fraction juive minoritaire a fait la honte de tous les juifs.

Et pendant ce temps il y a des « petits trou duc. », nous en avons un échantillon à Tours, qui s’autopersuadent qu’ils conduisent une vraie croisade contre un fascisme plus fantasmé que réel. Des, qui vont à ce prétexte, et ils se prennent pour des héros, casser les vitrines d’honnête commerçant, dont le seul crime à leur sens, est de respecter la liberté d’expression de tous. Chers camarades « antifas », je profite de cette circonstance pour m’adresser à vous qui vous trompez d’ennemi chaque fois que vous portez un coup. Voilà l’occasion de vous racheter, de vous revaloriser et peut-être même d’accéder au Walhalla des héros : je vous offre une piste pour mener une véritable action antifasciste d’adulte, dont nous pourrons enfin vous être gré.

Si Jehova, faisant appel au service d’un justicier d’ici-bas, avait la bonté de précipiter cette bête chez Belzébuth, celle-ci n’aurait-eue que le sort auquel doit se préparer tous guerrier. Le sors et aucune raison de s’en plaindre. On ne peut pas impunément prôner le massacre d’un peuple et se vouloir à l’abri des contingences désagréables qui en découlent.