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  • MACRON S’EN VA-T-EN GUERRE (Nous devant, nous devant, lui derrière.)

    MACRON S’EN VA-T-EN GUERRE

    (Nous devant, nous devant, lui derrière.)


    Dès que je l’ai vu apparaitre dans le paysage politique j’ai tout de suite su, et dit, que cet homme était un danger pour la France. (Voir mon article « Macron no ! - 4 bonnes raisons de ne pas voter Macron - (daté du 20 avril 2017) Dont vous pouvez lire un extrait en annexe, et dans lequel je parlais déjà, sept ans en avance, du risque qu’il ne nous entraine dans la guerre actuelle.

    Macron le banquier est un guerrier, il en va souvent ainsi des hommes qui doutant eux-mêmes de leur virilité éprouvent le besoin de la faire sentir à autrui. Depuis que les cercles autorisés de la finance l’ont coopté, par le truchement (on pourrait dire « trichement ») d’élections présidentielles manipulées, à la plus haute fonction de l’Etat, ce Jupiter aux petits pieds n’a eu de cesse de terroriser les foules avec les foudres de ses humeurs guerrières.

    Manu était en guerre contre les Gilets-jaunes, nous a-t-il dit (car comme les rois il parle de lui à la première personne du pluriel). « Nous sommes en guerre contre le virus » a-t-il déclaré ensuite ; mais il a surtout fait la guerre à la partie de ses propres citoyens (que dis-je, « sujets plutôt ») qui refusaient de se soumettre à ses arrêtés ubuesques. A l’instar de Cambronne, mais en plus grossier il a dit « mesdames et messieurs les français je vous emmerde ». Le voilà à présent parti en guerre, contre la Russie, rien que ça, (lui derrière nous devant bien entendu). Il a décidé ça tout seul et de sa propre autorité, - Louis le soleil ne disait-il pas « l’Etat c’est moi ! » ; le paraphrasant « Manu le trou noir » anone « La France c’est moi » – il a décidé que la Russie était son (notre) ennemi et que des milliers d’hommes jeunes encore devait sacrifier leurs vies pour la juguler.

    Eh oui braves gens Manu est un soldat, rose, qui ne redoute pas le sacrifice d’autrui. « Allez les garçons, n’ayez pas peur, montrez-leur que vous en avez-vous, ne faites pas vos chochottes, battez-vous vaillamment. Moi et Gabriel restons-là, je supervise en « visio » depuis mon QG sous l’Élysée. ».

    Certains, jugeant du caractère ubuesque de sa politique vaccinale ont subodoré que les cercles dirigeants de la planète dont il est en France le commis, avaient résolu d’exterminer une partie de l’Humanité. Vrai, faux, complotisme ou pas, paranoïa collective ? Qu’importe. Nous voilà rendu à présent dans une problématique beaucoup plus claire et oh combien plus angoissante. Ces dirigeants du monde occidental ont clairement décidé d’exterminer PAR LA GUERRE une partie de l’Humanité. Et cette option ne fait cette fois pas l’ombre d’un doute. L’opinion va-t-elle se réveiller ?

    Ces gens-là nous bassinent avec des questions de sécurité dont ils seraient les garants : lutte contre la drogue (surtout les petits dealers d’en bas, pas les gros bonnets bien sûr). Lutte contre l’exception des banlieues (le deal, les rodéos, etc) pas contre la ghettoïsation, le chômage et la misère ; lutte contre la « délinquance routière » (pas contre ces bandits modernes de grands chemins que sont les raquetteurs automatiques embusqués le long de nos routes). Lutte contre les petits fraudeurs de la sécu pas contre la fraude ou « l’optimisation fiscale ». Etc. Ils nous bassinent avec de telles questions de sécurité certes importantes mais secondaires tout de même eue égard aux misères souffrances et dangers de mort auxquels ils nous exposent sciemment. Car n’est-ce pas cela même que leur volonté d’envoyer notre jeunesse se faire massacrer dans un conflit qui ne la concerne pas ? N’est-ce pas cela même que prendre le risque de nous entrainer dans une folle escalade guerrière, une nouvelle guerre mondiale, d’assumer sans frémir la prise de danger d’un dérapage nucléaire qui mettrait en péril la survie même de l’Humanité et pourrirait la planète pour plusieurs centaines d’années voire un millénaire.

    Allons-nous les laissé faire ? Allons-nous sans broncher monter au Belvédère, comme des moutons aller aux abattoirs d’Odessa, de Karkhov ou de Kiev, comme nos arrière-grand-pères allèrent à ceux de la Marne, de Verdun ou du chemin des Dames ?

    C’est Macron qui pour la France a décidé seul, sous les instances des dirigeants de l’empire anglo-saxon, que la Russie était notre ennemie.

    Non la Russie n’est pas notre ennemie. Elle ne veut pas de l’OTAN à ses portes et force est de reconnaitre qu’elle n’a peut-être pas tort quand à présent les dirigeants de la coalition occidentale disent sans détours qu’ils veulent la démembrer. La Russie de tous temps a été « Francophile » et à plusieurs reprises l’alliée de la France Lorsque nous avons été en guerre avec la Russie (1812 guerre napoléonienne, à 1815, « Sainte Alliance », Guerre de Crimée 1853/1856, soutien à la guerre civile contre la révolution 1919/1922) c’est à chaque fois la France qui est allé chatouiller les griffes de l’Ours.

    Cette guerre vous l’avez compris, n’a rien à voir avec la défense de l’Ukraine. Serait-ce défendre l’Ukraine, en effet, que d’épuiser ses ressources humaines jusqu’au dernier ukrainien. Serait-ce défendre l’Ukraine que de la dévaster, de détruire son potentiel économique ? Serait-ce défendre l’Ukraine que de l’atteler au boulet d’une dette colossale, que de vendre ses meilleures terres à « Black-Roc ? Non, l’Ukraine n’est qu’un moyen, un tremplin, une nation consommable (Jetable) dans l’idée d’atteindre le but ultime de l’impérialisme Anglo-Américain : faire poser genoux à terre à l’ours Russe afin de démembrer son héritage, faire main basse sur ses richesses.

    En quoi se rêve mégalomaniaque de l’impérialisme Yankee pourrait-il bien nous concerner ? Cette guerre n’est pas la nôtre. Nous ne la ferons pas.

    Cette guerre si Macron veut vraiment la faire, qu’il aille donc lui-même à Odessa plutôt que de se terrer comme un lapin à vingt mètres sous terre dans son bunker de l’Elysée. * Et comme le fameux Malbrough de la chanson, qu’il n’en revienne surtout pas, ni à pâques, ni à la trinité.


    Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr ». Samedi 27 avril 2024.

    *Prenez garde tout de même aux missiles « Kinjal ».

    ANNEXE : extrait de l'article "MACRON NO" du 20 avril 2017.

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    Or, il y a une quatrième raison de ne pas voter pour cet individu, horrifiante celle-là, peu mise en lumière et pour cause, c’est « la guerre » où il nous conduirait. Ceux qui veulent voter à droite (voter Macron c'est voter à droite) doivent se faire cette réflexion, François Fillon possède un avantage sur Macron, lui au moins prêche pour la détente des relations internationales, la diplomatie, la recherche de solutions négociées, le rééquilibrage de la politique internationale de la France à l’égard de la Russie. Alors que Macron, l’avatar de François Hollande, s’aligne totalement sur la politique internationale belliqueuse de son Mentor, voulant coute que coute, fusse au prix encore des centaines de milliers de morts, détruire l’Etat syrien, et qui fait du rattachement de la Crimée à la Russie un « casus-belli », qui conduit l’humanité droit dans le mur d’une guerre mondiale désastreuse et peut-être même nucléaire. Macron No ! "

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