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  • NON, LA RUSSIE N’EST PAS NOTRE ENNEMIE

    NON, LA RUSSIE N’EST PAS NOTRE ENNEMIE

    (Cou-cou, nous revoila)

    « La voie des sans voix » a été atone tout un mois. Eh oui, excusez-nous amis lecteurs. Un retard de paiement et nous avons failli perdre notre nom de domaine. Le récupérer n’a pas été aisé. Mais voilà. C’est acquis, nous sommes de retour parmi vous.

    Un mois, et quel mois ! Un mois de folie où un pervers malade, un misanthrope propose de se venger de l’Humanité qu’il exècre en la plongeant dans la pire des calamité, une troisième guerre mondiale, l’Armageddon, la guerre nucléaire peut-être, la fin de la civilisation.

    Ce système fou que l’on nome capitalisme est une sorte de machinerie démoniaque qui vit sa propre vie indépendamment des intérêts de l’Humanité. Son oxygène à lui, ce n’est nullement la satisfaction des besoins humains, mais une sorte de fuite en avant infernale, vers toujours plus d’expansion ; (fut elle sans objet) de profits et d’accumulation. Cela le contraint à vouloir s’emparer de toute la puissance économique de l’Humanité, à vouloir établir un empire mondial concentré entre les mains de quelques « oligarques » planétaires.

    C’est cette soif de puissance, ce rêve mégalomaniaque d’empire planétaire, porté par les USA qui pousse l’humanité vers l’abime. D’autres n’en veulent pas, ne veulent pas se soumettre au diktat américain. Et les États Unis d’Amérique, pour parler plus vrai, l’impérialisme anglo-saxon, armé de son bras « otanesque » a convenu de les contraindre. Ils nous ont désigné un ennemi : « La Russie ». A cette fin ils ont diabolisé Poutine comme ils le firent de Saddam Hussein, Kadhafi, ou Bachar Al Assad, comme ils le feraient demain de Xi Jing ping, s’ils parvenaient en en finir avec la Russie lorsqu’ils retourneraient leur agressivité contre la Chine.

    Ces malades du profit et de l’accumulation capitaliste ont besoin d’un ennemi à combattre. La guerre de tout temps a été l’une des plus juteuse entreprise capitaliste. Ils gagnent avec la production d’armements et de munitions, ils gagnent avec les cercueils et les cimetières, et quand ils ont tout cassé, ils gagnent encore avec la « reconstruction ». Ils ont besoin d’un ennemi à combattre. Pas nous. Pas les peuples qui n’ont à y gagner que des souffrances et des misères. Ils se sont choisit un ennemi, la Russie. Ça n’est pas le nôtre. Non la Russie n’est pas notre ennemie. Nous ne la combattrons pas.

    Nos ennemis, s’il en est, ce sont ceux qui veulent nous conduire au massacre.



    Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr » Dimanche 31 mars 2024.
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