Ton air hautain, ton sourire condescendant, tes réparties arrogantes, tes saillies insultantes, ta morgue affichée, ton mépris du peuple, de la démocratie, de la représentation nationale, tout en toi est exécrable à vomir.
Depuis que, par l’entremise d’un autre ostrogot, François hollande alors Président de la République, tu es apparu dans le paysage politique de notre pays, tu n’as eu de cesse que de chercher des embrouilles au peuple.
Tu as « brûlé » le livre saint qu’était le code du travail, vendus à l’encan les bijoux de famille. Tu as fait éborgner ou arracher des mains à un certain nombre de Gilets-Jaunes. Prétextant une pandémie, réelle ou fantasmée, tu as déclaré la guerre à ton peuple l’obligeant sous menaces d’amendes prohibitives à porter un masque en signe de subordination comme certains empereurs de chine obligeaient les chinois à porter une tresse.
T’asseyant sur les libertés individuelles et le code de la santé publique, tu t’es essayé à la dictature sanitaire : assignant le peuple à résidence, instaurant des couvre-feu, limitant et contrôlant les déplacements, usant de la contrainte pour imposer à tous un traitement médical dont certain ne voulaient pas. Imposant l’observation de règle absurdes et humiliantes telle que « s’autoriser soi-même » ou boire son café debout parce que les microbes résideraient en dessous d’un mètre vingt.
Alors même que tu insultais les « non vaccinés » soi-disant responsables de la surcharge des services (covid vides en vérité pour la plupart), tu persistais à supprimer des milliers de lits d’Hôpitaux.
Alors, ; que le manque de lits et d’effectifs était criant et la surcharge de travail insupportable pour les personnels, tu fermais des services d’urgences et des maternités, embauchais des personnels intérimaires sur payés plutôt que réintégrer les personnels suspendus illégalement et sans revenus,.
Puis tu as instauré une réforme de l’assurance chômage imposant de nouvelles règles coercitives afin d’humilier d’avantage nos camarades, frères et sœurs privés d’emploi par un système de gestion économique inique, et en radier un grand nombre pour faire chuter artificiellement le niveau comptable, mais non réel, du chômage.
Tu pouvais te grandir et grandir notre pays, lors de ta dernière rencontre avec le Président Poutine, en prononçant des paroles d’apaisement pour dire la volonté de la France de faire appliquer les accords de Minsk et ainsi éviter l’offensive Russe en Ukraine. Mais tu as choisis alors l’outrecuidance à l’endroit du Président de la fédération de Russie, de te coucher comme un larbin devant « l’oukase » de l’impérialisme américain, d’humilier la mémoire du Général De Gaulle, et faire de la France le paillasson de l’OTAN.
Certains t’avais surnommé Jupiter. Ils se sont trompés. Tu n’en-a-pas vraiment la carrure. En fait, c’est « Mars » qu’il eut fallu t’appeler. Oh, non pas que tu es la carrure non plus d’un vrai Dieu de la guerre. Plus probablement parce qu’à l’instar d’un certain acteur l’ayant incarné, qui a fini sa vie dans un asile psychiatrique persuadé qu’il était Napoléon, tu te prends véritablement toi-même pour un foudre de guerre. Tes deux quinquennats, usurpés, auront ainsi été placé sous le signe des guerres : Guerre aux Gilets-Jaunes, guerre au « Sars-cov 2 », guerre aux chômeurs et aux pauvres (qui te coûte un pognon de dingue), guerre aux non vaccinés et aux personnels suspendus (que tu emmerde), guerre en Ukraine (qui ne coute rien comme chacun sait). Et maintenant la guerre à ton peuple, comme au temps des gilets jaunes, insultes et brutalités, éborgnages et mains arrachées.
Macron tu nous bassine !
C’est ma façon à moi, (élégante trouves tu pas ?) de te dire ce que tu traduirais toi dans ton axiome de charretier qui insulte la langue française et l’image de la France : « Macron tu nous emmerde ! » Et puisque c’est ce que tu souhaitais tu serais mal venu de te plaindre d'avoir atteint ton but.
Le peuple est mobilisé. Tu voudrais le terroriser, pensant ainsi le renvoyer dans ses foyers? Pour sa dignité et pour la défense de son système de retraite le peuple ne battra pas en retraite.
Tu vois Macron, tu l’entends dans l’amertume de mon propos, la coupe est pleine. Il y a quatre ans on te demandait poliment de « démissionner ». Plus récemment on exigeait que « tu dégages ». Tu t’accroches ? On va te décrocher. C’est à présent à coups de pieds au cul, que l’on va ta dégager nous-mêmes
Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr ». Lundi 27 mars 2023.