Avant-Hier, 7 août était le quatrième samedi de mobilisation Contre l’obligation vaccinale et le « Passe sanitaire ».

De semaine en semaine la mobilisation ne cesse de croitre. Les manifestations sont plus nombreuses, plus combatives et chaque fois plus toniques. Une partie de la jeunesse est entré dans l’action. Certains même qui créent des collectifs, contribuent à la construction organisée de la mobilisation.

Le mouvement de contestation est dans ce que l’on appelle sa « phase ascendante ». Tout porte à croire que cette montée en puissance va se poursuivre plusieurs semaines encore, au moins jusqu’à la fin août où il conviendra qu’elle culmine en manifestations gigantesques partout en France mais plus particulièrement à Paris, afin de frapper un grand coup.

Phase ascensionnelle, montée en puissance ? Cela ne veut pas dire, qu’il faut relâcher l’effort, au contraire. Nul ne doit se considérer comme « non indispensable ». Chacun au contraire l’est plus que jamais. C’est avec des grains de sable que sont faites les dunes. Chacun a sa part dans le succès de tous. C’est pourquoi chacun et chacune doit se mettre en devoir et en possibilité de prendre part aux prochaines manifestations et convaincre, ses parents, ses amis, ses contacts, de venir grossir les rangs de la contestation.

La semaine qui vient de s’écouler a été marqué par la décision du Conseil constitutionnel en parfait soutien de la dictature macronniste. Cela ne doit en aucun cas décourager la mobilisation ; Contrairement à ce que l’idéologie du gouvernement tente de faire croire, le Conseil constitutionnel n’est pas un « aréopage de sages arbitres au-dessus de la mêlée, ça n’est en vérité que l’un des rouages de la constitution monarchiste de la cinquième République et l’un des instruments de la dictature. Sa décision n’a donc rien de surprenant et ne change rien au caractère inique et totalement inacceptable de l’obligation vaccinale et du « pass sanitaire ».

Les jeux ne sont pas faits. Le découragement n'est pas de mise. "lâcher l'affaire" n'est pas à l'ordre du jour.

Certains se sont fait vacciner perce que c’est leur conviction et leur choix, nous ne les blâmons pas. Mais parmi ceux-là même, est-ce que ce choix a toujours résulté de ce que l’on appelle « le consentement éclairé » ? En vérité il a souvent été extorqué à l’aide d’une propagande licencieuse et terrorisante. C’est « contraints » que beaucoup d’autres se sont fait vacciner, obligés qu’ils se sont sentis pour faire telle activité, accéder à tel service, rendre visite à leurs parents, ou ne pas perdre leur emploi. De telles méthodes relèvent de la coercition ; La coercition est une forme de la violence d’État.

Tous ceux-là ont toutes les raisons de nourrir ressentiment et colère à l’égard de ceux qui les ont trompés ou forcés. Ils ont au même titre que ceux qui refusent la vaccination toutes les raisons de haïr et vouloir se débarrasser d’un tel pouvoir politique qui use de pareilles méthodes.

Vous êtes indignés par cette politique, gênés par ces mesures autoritaires et liberticides Ne vous résignez pas. Rejoignez le combat et les manifestations des centaines de milliers de Français déjà en lutte contre la dictature sanitaire.

La victoire est possible, elle est même indispensable car nul ne peut envisager sans frémir de vivre dans l’univers carcéral que nous concoctent Macron et ses acolytes.

Mais la victoire attendue, comme toutes les victoires populaires, ça se construit avec les efforts conjugués de chacun.

C’est pourquoi amis, « La République vous appelle » je vous en conjure, répondez à son cri d’alarme. Sans ostracisme, sans rejet de l’autre, croyants et non croyants, de droites ou de gauche, tout le peuple rassemblé pour la défense des libertés fondamentales, de la démocratie et des droits de l’homme bafoués.

Il s’agit là d’un combat historique essentiel auquel nous contraignent les circonstances. Rejoignez-le sans tarder. Vous serez fiers demain, à l’heure de la victoire, de pouvoir compter au nombre des artisans de celle-ci.

PROCHAIN RENDEZ-VOUS SAMEDI 14 AOÛT A TOURS Place Jean-Jaurès, et dans toutes les grandes villes de France et à PARIS.