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  • RENCONTRE DE LA GIFLE DU TROISIÈME TYPE

    RENCONTRE DE LA GIFLE DU TROISIÈME TYPE

    [JUSTIFIER]Il en a pris une « en pleine poire » et en public ; Ce n’était pas la première et ce n’est pas la dernière.




    Nous publions ici deux vidéos de l'évènement prises sous des angles différents. La première est la vidéo menteuse qui dit que Macron court au devant du public pour prendre un "bain de foule" comme l'ont rapporté certains commentateurs peu exigeants avec la vérité. la deuxième révèle le mensonge. Macron traverse en courant une ^place déserte, sous le protection de son service d'ordre rapproché, comme un soldat à découvert qui redoute la balle d'un "Sniper". la "foule"? C'est 20 à 30 pèlerins au plus. Cette réalité en soi est déjà une gifle à la vérité officielle. Il court au devant de sa gifle car l'agresseur a été plus fin qu'eux. Il a réussit à déjouer la sélection préalable de l’interview conduite par les journalistes patentés des R.G.








    Le peuple se délecte, et rit de bon cœur, des images virales qui tournent en boucle sur la toile sur les écrans de télévision et à la une des journaux. Ce que l’on appelle « la classe politique » de droite à gauche, elle s’offusque : « il ne faut pas disent-ils gifler un président de la République.

    C’est que Marine Le Pen qui pourrait devenir la prochaine Présidente se soucie de la détérioration de l’image de cette haute fonction qu’elle se propose d’embrasser. C’est qu’elle sait elle, qui avant même d’accéder à cette haute magistrature c’est acquises les haines bien ancrées de certain « islamistes », islamo-gauchistes » ou antifa », qu’elle pourrait elle-même, tout juste investie, être déjà exposée à en recevoir une.

    Mais les autres, Bertrand, Castex, Jadot, Mélenchon, qui ont-eux, quoiqu’ils la brigue, peu de chance d’accéder à la fonction suprême, pourquoi s’indigne-t-ils ? Ils s’indignent car ils comprennent qu’au-delà de la fonction présidentielle, c’est au système politique tout entier, et donc à eux-mêmes, qu’à été infligée cette gifle. Ils comprennent que cette gifle illustre le « dégagisme » général qui anime à présent l’esprit populaire.

    Il ne faut pas gifler un Président de la République ». Mais ces gens ont-ils bien réfléchit ? Nul n’a jamais giflé Charles de Gaulle, ni Georges Pompidou, Ni Valéry Giscard D’Estaing, ni François Mitterrand, ni Jacques Chirac. Et la simple évocation à rebours d’une telle éventualité parait terrifiante et totalement impossible. Ce n’est pas n’importe quel président de la république qui s’est fait gifler. C’est Emmanuel Macron 1er, le petit m’as-tu vu arrogant et méprisant ; C’est cet homme qui a été imposé aux français au terme d’élections manipulées par un suffrage extorqué. L’irrespect qu’il récolte est à la mesure des moyens fallacieux dont il a usé pour se propulser à la première place de l’État.

    L’homme qui s’est fait gifler hier en public est ce Président qui torture et humilie le peuple, qui l’oblige à aller masqué et à obéir à des consignes ubuesques comme un vaste troupeau de moutons. Alors certes, il est vrai que la grande majorité du peuple se plie à l’autorité et obtempère. Mais s’avez-vous ce que ressent vraiment ce peuple dans son for intérieur. Messieurs les « politiciens » relisez pour ceux qui les ont lu, ou lisez pour ceux qui n’en ont parcourut que les extraits exigés pour la préparation du bac philo, Voltaire Rousseau et Diderot, et vous y apprendrez, pour peu que vous soyez attentifs, que la servitude n’engendre jamais le respect mais plutôt le mépris et la haine.

    Autre proposition aussi creuse qu’idiote : « Quel que soient les désaccords il ne justifient jamais une telle violence » ; Violence ? Vous avez dit violence ? Ce « souffletage » public est certes humiliant et l’humiliation est une violence. Mais il ne s’agit là que d’une « petite gifle » administré à un homme qui s’est rendu coupable de maintes violences et sévices à l’encontre du peuple. Car oseriez vous dire que rayer d’un trait de crayon le code du travail élaboré au fil des décennies par maints débats et luttes ouvrières ce n’est pas une violence ça ? Parce que déstructurer les métiers et précipiter le monde du travail dans un univers de précarité généralisée ce n’est pas de la violence ça ? Parce que pousser à la faillite des milliers de commerce de proximité et détruire des dizaines de milliers d’emplois ce n’est pas de la violence ça ? Parce que précipiter au chômage et dans l’extrême précarité des centaines de milliers de salariés ce n’est pas de la violence ça ? parce qu’édicter des règles humiliantes auxquelles doivent se plier les travailleurs privés d’emplois et réduire leur droits et protections ce n’est pas de la violence ça ? Parce que pousser au suicide des milliers d’agriculteurs et de jeunes qui perdent toute vision de l’avenir ce n’est pas de la violence ça ? Parce qu’exiger d’un peuple qu’il se masque et l’assaillir de mesures coercitives ça n’est pas de la violence ça ? Parce qu’assigner les populations à résidence, interdire les libres déplacements, les réunions et manifestations culturelles sportives, sociales ou politiques, ça n’est pas de la violence ça ? Parce que crever des yeux et mutiler des gens ça n’est pas de la violence ça ? Parce que faire « crever » de solitude nos vieux dans les « EHPAD » en les privant des visites et de la tendresse de leurs proches ça n’est pas de la violence ça ? Parce qu’interdire à leurs familles leurs proches et leurs amis d’honorer leurs morts ça n’est pas de la violence ça ? Parce qu’imposer une vaccination généralisée, non obligatoire mais FORCÉE, en dépit des garanties que le code de la santé publique reconnait aux patients, ça n’est pas de la violence ça ? Parce que Faire mourir de la sorte des milliers de gens et mutiler des milliers d’autres en leur injectant un produit censé les prémunir d’une maladie qu’ils ont peu de risque de contracter et aucun d’en mourir si on la soigne, ça n’est pas de la violence ça ? Parce qu’avoir provoqué la mort de dizaines de milliers de gens qui n’auraient pas dû mourir, parce que l’on a interdit aux médecins de les soigner, ça n’est pas de la violence ça ? Parce qu’engendrer un profond mal être social et des milliers de pathologies mentales qui s’en suivront, ça n’est pas de la violence ça ?

    Alors oui, comparé à tous ces sévices et maux cumulés, dont monsieur Macron est comptable puisqu’il est le chef d’orchestre, qu’est-ce qu’une petite gifle ? « Rien ! Mais encore ? Peu de chose » ; L’humiliation et la colère dont le peuple se ressent « de que vous voyez est peut-être la cause ? » ;

    Et enfin l’ânerie la plus grande et peut-être le témoignage le plus sûr du mépris dans lequel ces gens tiennent le peuple. La gifle dont Emmanuel Macron a été la cible viserait la France toute entière et la démocratie ».

    Qu’elle démocratie diantre !

    Voilà deux ans bientôt que les droits démocratiques les plus élémentaires ; « la liberté de pensée et d’expression » sont mises à mal. Voilà bientôt deux ans que le pays est dirigé par un seul homme flanqué d’un « conseil de défense » et d’un « conseil scientifique » taillé par lui-même selon son besoin et son bon vouloir. Voilà bientôt deux ans que le pays vit sous « l’état d’exception » qu’est « l’état d’urgence sanitaire ». Voilà deux ans bientôt que la démocratie a été confisquée. Voilà deux ans bientôt que nous vivons sous le régime d’une dictature sanitaire préalable de la dictature tout court. Et ils osent nous dire qu’une gifle met en péril la démocratie.

    Cette gifle, qui n’était pas la première, elle est salutaire au contraire ; Non pas en elle-même, ni parce qu’elles sont deux, mais parce qu’elle en appelle une troisième. Une troisième, bien pire que les précédentes. La gifle de tout un peuple excédé ; Prenez garde monsieur Macron. Tenez-vous bien la tête à deux mains. A défaut le souffle ravageur de celle-ci pourrait bien la faire rouler au parterre.


    Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr » Mercredi 9 juin 2021.


    P.S. (Vendredi 11 juin 2021.)
    Des interrogations ont court. Ne serait-ce pas une mise en scène; Ne s'agirait-il pas d'une "victimisation" volontaire de Macron? Par les temps qui courent avec toutes les manipulations dont ce pouvoir se rend coupable, on est en effet plus sûr de rien. Je répondrais demain, samedi 12 juin à ces interrogations. (P.S.)[
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