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  • SOLIDARITE AVEC LE PROFESSEUR DIDIER RAOULT

    SOLIDARITE AVEC LE PROFESSEUR DIDIER RAOULT

    L’hydroxychloroquine, un médicament peu cher, parmi les plus prescrit dans le monde entier, autorisé en France depuis 1949 soit 70 ans, distribué à des millions d’exemplaires, à des millions de patients, (elle est inscrite sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS), pour soigner diverses pathologies dont essentiellement le paludisme, ou en rhumatologie, sans jamais provoquer d’incident grave, a été subitement classé par la France le 13 janvier 2020 Sur « la liste des médicaments contenant des substances nocives », puis à la suite d’une étude publiée dans la revue médicale « The lancet » qui s’est avéré être « une arnaque », interdite par Olivier Véran, ministre de la santé, dans le traitement du Covid 19.

    Les bilans : hospitalisations, cas graves, décès, de l’IHU de Marseille où officie le professeur Raoult, lors de la première phase de l’épidémie étaient déjà forts parlant en faveur du traitement Hydroxychloroquine/ Azithromycine. Sa poursuite, ou son extension à d’autres unités hospitalières en aurait, indépendamment de toute étude « randomisée » ou non, établit la preuve irréfutable. Il ne peut échapper à personne, qui n’a pas perdu son libre arbitre et son bon sens, qu’il ne pouvait s’agir là que d’une grossière manœuvre dilatoire, pour « retarder », ou carrément empêcher que les simples faits comptables n’apportent la preuve incontestable de l’efficacité, fut-elle relative, du protocole du professeur Raoult.

    Fut-elle relative ! Car à ce jour on ne possède toujours pas de traitement efficace de façon tout à fait incontestable et reconnu par tous, contre le Covid 19. Si bien qu’interdire l’hydroxychloroquine, dans ces conditions revenait à priver les médecins de l’usage d’un médicament que le ministre de la santé considérait certes comme « peu efficace » pour : « pas de traitement du tout ». Il y a dans une pareille conduite une dimension criminelle qui ne peut non plus « échapper à personne, puisqu’elle s’apparente à « l’interdiction de soigner ». .

    Ceux qui ont perpétré cet attentat contre la liberté de prescrire des médecins l’ont fait sciemment. Ce fussent-ils « égaré » ou « planté », cela peut arriver aux plus malins, l’arnaque découverte de l’étude du « Lancet », ils se fussent excusés et eurent annulée leur interdiction. Foin soit donc de la présomption d’innocence, à défaut de justification médicales ou scientifiques qui tienne la route, seules des raisons mercantiles paraissent pouvoir expliquer leur conduite. Ils ont obéit aux injonctions de certains laboratoires, l’américain GILEAD en l’occurrence, qui entendaient promouvoir un médicament ‘bon à rien » le « remdesivir » mais infiniment onéreux, (2100 euros par parient) et surtout laisser au public comme seule option pour se défendre contre la maladie, un vaccin hypothétique qui leur rapporterait à eux des milliards d’euros.

    Nombreux sont les gens dans le monde et particulièrement en France qui sont méfiants à l’égard des vaccins, et plus spécifiquement de ces grandes campagnes de vaccination que les laboratoires et leurs lobbyistes tentent de promouvoir depuis plusieurs années. Pour que les populations acceptent de se faire vacciner en masse contre le corona virus il fallait les convaincre que celui-ci était infiniment plus terrible que les virus de la grippe et surtout qu’il n’y avait aucun autre moyen de s’en prémunir. Aucun autre moyen ? Donc surtout pas la chloroquine bien sûr. On ne va pas se faire vacciner si on peut soigner le « Covid » avec un traitement simple et bon marché.

    C’est ainsi, bien malgré lui, qu’en défendant le protocole de soin Hydroxychloroquine/azythromycine le professeur Raoult c’est trouvé, bien malgré lui, dans la position du gêneur, « l’empêcheur de vacciner en rond ». Celui qui risquait de « leurs »faire perdre un marché juteux de plusieurs dizaines voire centaines de milliards d’euros. Mais qui « leurs » ? Les grands laboratoires bien sûr

    Quand les enjeux financiers sont de pareille taille, nombreux sont les hommes prêts à vendre leur âme au Diable. Bien de gentils docteurs Jekyl peuvent alors se métamorphoser en « Mister Hyde », bien de pacifiques « blouses blanches » en Frank Nitti

    Le professeur Raoult a sollicité une dérogation à l’interdiction de la Chloroquine pour soigner les patients atteint de Covid 19 comme il l’a fait depuis le début avec succès. Mais l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) a refusé fin octobre de lui accorder cette dérogation ce qui équivaut outre l’entrave « à la liberté de prescrire », l’interdiction faite à un médecin de soigner ses patients. Alors le professeur Raoult assisté par Maitre Di Visio, a porté plainte contre l’ANSM pour « mise en danger de la vie d’autrui »

    Cela signifie que l’éventuel aboutissement de la plainte du professeur Raoult aurait pour conséquence de faire éclater le plus grand scandale sanitaire de l’Histoire de l’Humanité, en mettant en lumière les seules motivations mercantiles qui peuvent expliquer pareille conduite, en étalant au grand jour les conflits d’intérêt, les corruptions et les complicités criminelles des « autorités médicales » et « politiques.

    C’est dans ce contexte qu’il faut analyser la décision du conseil de l’ordre des médecins dont on vient de prendre connaissance de poursuivre le professeur Raoult pour, selon lui (le Conseil), « diverses entorses au code de déontologie: violation de la confraternité, information erronée du public, exposition à un risque injustifié et même charlatanisme».

    On l’a compris, cette plainte « abracadabrantesque » et « affligeante » c’est « la réponse du berger à la bergère.

    Réalisant tout à coup qu’ils pourraient bien se retrouver sur le banc des accusés, pour « refus de soigner », mise en danger de la vie d’autrui », corruption, etc., certains hauts personnages contre attaquent. La terreur les assaille face à l’immensité de leurs responsabilités et surtout la perspective de devoir en répondre. C’est ce qui leur fait perdre le sens de la mesure, et même semble-t-il le sens commun.

    En l’occurrence ici le berger se conduit comme un « mufle ».

    « Charlatanisme » ? Penser un peu ! Poursuivre pour charlatanisme un grand médecin et chercheur mondialement reconnu ? Et ce sont eux, comble de cynisme (ou de bêtise) qui osent reprocher au professeur Raoult « la violation de la confraternité ».

    Ils ont peur, ils s’affolent, ils « déjantent » : C’est qu’au demeurant, si le lobbying des laboratoires, « les conflits d’intérêts comme l’on dit, la corruption pour être plus brutal, et l’énormité du pactole escompté, peuvent être des explications plausibles au délire anti-chloroquine de certains, on voit mal, par contre, qu’elles motivations auraient pu faire perdre la raison au professeur Raoult avec sa chloroquine à « deux balles ».


    Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr ». Dimanche 15 novembre 2020.



    J’ai signé la pétition « SOUTIEN AU PR RAOULT CONTRE LES MÉDECINS QUI ONT PORTÉ PLAINTE CONTRE LUI À L’ORDRE DES MÉDECINS. »
    Et laissé le commentaire ci-dessous

    Patrick - 15/11/2020 à 11:27:07
    L'affaire Raoult, puisque affaire Raoult il u a, c'est l'affaire Dreyfus de notre temps. Les deux personnages sont ^poursuivis par leurs pairs, Alfred Dreyfus officier par le haut commandement et le tribunal militaire, Didier Raoult médecin et chercheur par l'Ordre des médecins. Les deux procès ont ou vont dresser une partie de la France contre l'autre. Les deux procès ont ou vont révéler un scandale gigantesque. Faisant écho à Emile Zola, plus d'un siècle après nous disons nous aussi "j'ACCUSE!" et nous serrons les rangs autour du professeur Raoult.

    Signez-là aussi. Faites là signer en publiant le lien ci-dessous.
    https://www.mesopinions.com/petition...ins-ont/103563
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