(Bien que ce ne soit pas mon habitude, puisqu’on me l’a demandé, exceptionnellement je publie, une fois, une seule, mon bulletin de santé, physique, mental et politique.)

J’ai ouïe dire que d’aucun se préoccupait de ma santé et de savoir si j’étais resté égal à moi-même ? Je les rassure, au risque de les rendre malade, je vais fort bien, je ne suis atteint ni d’aphonie, ni d’agueusie ni d'anosmie, et toujours droit dans mes bottes, La démence sénile qui parait en avoir atteint d’autre m’a épargné moi-même jusque-là.

Depuis qu’il est obligatoire je n’ai toujours pas mis une seule fois un masque, je me lave toujours les mains comme l’exige l’hygiène générale, et pas d’avantage, avec du savon de Marseille (Ah Marseille !...le savon l’hydroxy…), et comme je continue à embrasser mes proches et amis, je ne respecte évidemment pas « les distanciations ». J’en connais pourtant des, qui ont obéi aux consignes et qui ont malgré tout contracté depuis le virus, et même plus en ont quelque fois étaient malades, pas moi, en tout cas pas encore. De quoi faire bêler de rage tout un troupeau de moutons imbéciles. Mais n’est-ce pas là la preuve établie par le vécu que toutes ces « précautions » ne sont pas de grande utilité, et que l’obéissance ne prémunit en rien les ovins, ni contre le virus « sars-cov 2 », ni bien entendu contre « le prion » de la « tremblante », dont à l’évidence certains sont à présent atteints.

Quant au silence, je ne me suis jamais moins manifesté qu’à mon habitude. J’ai écrit récemment un petit conte publié sur mon Website, (« La dévolution ») et une « nouvelle » (Adieu l’Emile ») non encore publiée. Je prends part aux réunions hebdomadaires et aux interventions publiques (distribution de tracts). Je suis en peu de mots, toujours fidèle à moi-même, à mes engagements, à mon combat contre la « dictature macroniste » dissimulée ou pas sous le masque, et refuse catégoriquement, comme d’aucuns le font, de la justifier pour des raisons sanitaires quel que soit le degré de gravité réelle ou supposé de celles-ci.

Revenons quelques instants à ma petite histoire que les spécialistes de l’édition classeraient probablement dans la catégorie des « contes philosophiques, s’il n’était de notoriété publique que je ne suis pas philosophe. Car vous le savez, pour certains seuls les philosophes patentés comme BHL, Enthoven ou Onfray (et encore pour ce dernier il faut voir) ont le droit de philosopher, seuls les médecins diplômés ont le droit d’émettre un avis à caractère médical (« Je suis enrhumé ! » Pourquoi dis-tu ça, tu n’es pas médecin, va donc passer un test covid), et encore sous le contrôle étroit de « l’ORDRE qui les régit». Seuls les scientifiques ont le droit d’avoir une opinion sur les sujets scientifiques (« La terre est ronde et tourne sur son axe nord/sud » Ce n’est pas ce que dit la Genèse. Seul Galilée est habilité à prétendre qu’elle tourne pourtant).à la condition expresse d’être « labellisés » par l’autorité politique. Seuls les élus ont le droit de se prononcer sur les affaires publiques, seuls les responsables politiques ont le droit d’approuver ou de contester l’action du gouvernement et seuls les dirigeants syndicaux ont le droit de décréter la « rentrée sociale » et d’appeler à manifester. Quant aux citoyens que leur reste-t-il ? Le droit de la fermer et de suivre bien sûr en bêlant comme des moutons.

Ah le joli monde « manichéen » que nous rêve ces fameux moutons !...

Moutons ?

A moins que ça ne fussent des singes ? Le petit conte que je viens d’évoquer s’appelle « La dévolution », pour les durs de la comprenette, la « dévolution » c’est l’inverse de « l’évolution », qui raconte comment victime de la bêtise et de l’obéissance aveugle l’homme est redevenu singe, un animal à quatre pattes comme le mouton. J’en conseille vivement la lecture à certain qui emploieraient ainsi mieux leur temps qu’à déverser leur venin sur les hommes dont la station verticale bien entendu les agresse eux qui ont déjà pliée l’échine.