« Un groupe privé « Facebook » (comme le groupe privé « On est là » par exemple) a été créé en Alsace. Il s’intitule : "Contre le masque obligatoire, pour la liberté de respirer et de sourire". Je l’ai découvert hier soir. Je me suis immédiatement inscrit. (Il comptait alors 2967 membres, le lendemain, 3166 étaient inscrits à 7 heures 50 le matin) ».

Vendredi matin le même groupe comptait plus de 4400 membres. De toute évidence un phénomène de cristallisation se produisait de nature à révéler l’ampleur réelle de la contestation que suscite« la dictature sanitaire ».

Eh bien, vendredi en soirée, ça y était déjà, la censure avait opéré. Vous pouviez trouver encore l’intitulé du groupe sur les pages de recherche mais la page était inaccessible, son contenu interdit d’accès.

Et ils appellent cela la liberté ou la démocratie ?

Mais de quoi donc ont-ils peur ? Il parait selon les dires des mainates à leur solde, que nous ne sommes qu’une poignée d’hurluberlus, illuminés et inconscients ? Si c’était véritablement le cas, qu’en auraient-ils à faire de notre expression presque confidentielle sur nos petits « blogs « eux qui possèdent, au service de leur « vérité officielle » toutes les puissances médiatiques du monde ?

C’est que la réalité est tout autre. C’est que l’adhésion d’apparence massive des populations à leurs « règles sanito-liberticides » n’est en vérité qu’un trompe l’œil (et les consciences), résultat du « matraquage médiatique » et de la coercition policière Ils redoutent donc, et ils ont en cela probablement raison, que dans ces conditions l’écoute devenue possible d’une voix discordante audible n’emporte rapidement une énorme adhésion et démontre que la coagulation populaire dont leurs politiques bénéficie n'est construite que sur du sable. C’est pourquoi ils veulent nous faire taire.

MAIS NOUS NE NOUS TAIRONS PAS !

D’ailleurs, ne les avait-on pas vus venir de loin avec leurs « gros sabots », leurs lourdes bottes et leurs rangers ?

Lorsque j’adhérais mercredi soir (12 août) au groupe privé Facebook « Contre le port du masque obligatoire pour la liberté de respirer et de sourire » je laissais sur la page du groupe le commentaire suivant :

« Je suis ravi de découvrir ce jour votre groupe de résistance et m'empresse de le rejoindre.

De nombreuses pétitions de toutes sortes courent sur les plateformes de signatures en lignes, qui protestent d'une manière ou d'une autre contre la "dictature sanitaire" et la politique liberticide du gouvernement et des "autorités médicales". Mais parvenues à un certain seuil elles sont systématiquement bloquées. C'est la liberté d’expression elle-même qui est confisquée. Pour reprendre la parole, pour faire entendre nos voix, il faut aller plus loin, il faut "ORGANISER LA RESISTANCE. »

Comme nous le présagions, ils ont donc voulu étouffer cette voix qui enflait. Il faut que nous nous donnions les moyens de nous faire entendre tout de même, il faut que nous donnions corps et crédit à la contestation qui monte*. Il faut que nous dépassions le stade de la simple protestation verbale ou écrite, que nous nous organisions, afin de se munir des outils nécessaires à notre expression, malgré et contre la censure.

Il faut que nous organisions la réunion physique d’un « Congrès », « d’Assises » d’une « conférence » ou d’un « colloque » national, ou toute autre dénomination, appelez-cela comme vous voulez, contre la Dictature Sanitaire. Pour la liberté d’expression et de respiration ». Nous pourrons ainsi nous donner les moyens organisationnels, matériels, médiatiques et juridiques de mettre en échec la censure.

Sans cela nous n’en viendrons pas à bout.

Avec ma « petite voix » j’exhorte donc tous ceux qui ne veulent pas faire la « génuflexion » en signe d’allégeance à la dictature, à prendre les dispositions utiles à l’organisation d’une telle « rencontre ». Les initiatives multiples qui ont été animées par un grand nombre de « leaders » et initiateurs à divers niveaux constituent un « terreau » à exploiter en vue de cet objectif. Vous possédez des contacts, des noms, des adresses e-mails, des numéros de téléphones. Exploitez ce « capital » prenez des contacts, sur votre « métier» tissez une « toile »d’un autre type, non virtuelle. Mais physique celle-là.

Je l’ai déjà dit et écrit, Je suis en ce qui me concerne des vôtres, Je suis prêt à m’investir dans cette initiative, disponible pour ce combat.

Pas un seul (es) d’entre vous qui aura connaissance de ce texte et qui l’approuvera, ne devra se limiter à le lire. Vous devez le partager, le publier, le faire suivre, le diffuser, par tous les moyens en votre disposition. Merci !