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  • PLUS FORT QUE LE COVID LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE LA FRANCE : « LA DICTATURE »

    PLUS FORT QUE LE COVID
    LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE LA FRANCE :
    « LA DICTATURE »

    Ils ont joué la stratégie de la peur. Ils ont terrorisés les peuples avec leurs décomptes macabres, leurs propagandes anxiogènes, leurs politiques destructrices, leurs oracles alarmistes. Ils ont créé des populations de fantômes hypocondriaques. Les gens ont peur, pas tous il est vrai, mais beaucoup. Certains ont peur de la « petite bête », ce virus invisible, d’autres ont surtout peur des grosses, des« vaches », et des « amendes. Presque tous dociles filent doux, masqués, défigurés, bâillonné, déshumanisés.

    Un grand médecin, chercheur émérite et scientifique mondialement reconnu s’obstine à ne pas hurler avec les loups. Ils l’insultent, le traine dans la boue, certains même le menace de mort. Ils le disqualifient et le font taire.

    Une élue de Nice, une écologiste, pas une « hurluberlue », une femme posée et intelligente, ose braver les chevaliers (peu chevaleresques) de la vérité officielle en dénonçant si judicieusement deux au moins des véritables motifs de l’obligation du port du masque. Sa publication sur sa page Facebook est supprimée, une bande de loups hurlants se met à ses trousses la stigmatise : « complotiste », la « traite » de tous les noms d’oiseaux,

    Des pétitions, par dizaines, défense du Dr Peronne, Solidarité avec le professeur Raoult, protestation contre le port du masque, demande d’enquête parlementaire ou extraparlementaire, etc. apparaisse et circulent sur des plateformes de signatures en ligne. 8, 16 000 signatures pour les plus petites, 150 000 pour les plus grandes, « font trois petits tours et puis s’en vont », tout à coup bloquées avant d’avoir atteint le seuil significatif selon leur nature. Elles montent, plusieurs centaines voire plusieurs milliers de signatures par jour, puis la courbe ascensionnelle se tasse, elles stagnent tout à coup, 10, 100 signatures en 24 heures. Bloquées, avant d’être devenu un « évènement » non facilement « occultable ».

    Un groupe de discussion privé est constitué sur Facebook, sous la dénomination « Contre le port obligatoire du masque pour la liberté de respirer et de sourire ». Il compte 2967 membres à l’heure où j’y adhère mercredi soir 1é août, le lendemain matin 3166 le soir il va passer les 4000, vendredi matin 4400. Après je ne sais plus. Quand je veux aller à nouveau sur la page du groupe elle n’est plus accessible. Elle a été censurée.

    En la matière, en effet, nous sommes au-delà de la simple manifestation d’opinion et de grogne. L’adhésion à un « groupe » est déjà un acte militant, il ouvre la voie à une véritable organisation des protestataires. Le seuil de tolérance admis par le pouvoir est donc ici beaucoup plus bas. S’il avait passé le seuil des 10 000 membres, il fut devenu un réel évènement et pu jeter les bases d’une structuration de cette opposition. Il fallait le stopper avant qu’il n’atteigne ce palier symbolique.

    Vous vous en souvenez, Macron a dit que nous étions (enfin surtout lui) ’en « guerre ». Aurait-il aussi instauré la censure de guerre ?

    Que font les partis d’opposition politiques ? Que font ceux qui s’identifiaient « à gauche » de l’échiquier politique. Que font les associations de défense des libertés publiques et des droits de l’Homme ? Ils et elles se taisent, sidérées, tétanisées. Tous pris à leur propre piège.

    Au début de la crise, ces petits malins ont voulu jouer « à je te tiens par la barbichette » avec le pouvoir, dénonçant son incurie, le manque de lits, le manque de personnels soignants, le manque de tests et de masques. Cela était réel et il convenait de le signaler. Mais fallait-il pour autant foncer tête baissé dans le piège machiavélique du pouvoir ? Fallait-il pour autant refuser de voir les arrières pensées politique qui motivaient l’action des gouvernants ? Ils sont allés au-devant des désidératas de ceux-ci, réclamant plus de masques, plus de règles, plus de protections. Ils ont contribué à accroitre et à légitimer « la terreur » à justifier les dispositifs de la « dictature sanitaire ». Le gouvernement a pris des dispositions pour relancer des unités de fabrication de masques, des investissements importants ont été consentis. Il faut à présent rentabiliser l’affaire. Avec les obligations faites d’en consommer ça peut même devenir une affaire for juteuse, et les industriels et banquiers auront sans nul doute à cœur de remercier les décideurs qui leur ont fait cadeau de cette « manne ». « Vous en vouliez ? Vous allez en « bouffer » des masques ». Que voulez-vous qu’ils disent ? Ils en bouffent ! Sous prétexte de stopper l’ennemi invisible qu’est le virus n’ont-ils pas pavé d’or la voie du char, pourtant tellement visible, de la dictature.

    Le danger, le vrai, qui menace les Français à ce jour, est moins le Corona virus que la dictature politique et la privation de liberté.

    La catastrophe économique engendrée par les politiques démentes et le confinement, est imminente. C’est à la rentrée, septembre octobre que l’heure des comptes va sonner. Deux millions au moins de chômeurs supplémentaire. Des centaines de milliers de familles précipitées dans les difficultés voire la misère noire, des dizaines de milliers d’entreprises petites ou moyennes qui vont mettre la clé sous la porte. Et l’appel à ceux qui crèvent déjà au travail à travailler plus et gagner moins, au nom de l’effort national nécessaire pour réparer les « conneries » des fainéants qui nous gouvernent. Et cerise sur ce « gâteau de merde » la reprise des réformes antisociales (retraites), la poursuite de la dilapidation des biens nationaux (Photonis).

    Leurs attaques contre les peuples et leurs niveaux de vie sont terribles. Ils entendent les mener à leur terme. Ça ne les empêche pas d’avoir peur.

    Dociles, Accablés, Obéissants, le peuple ? Le croyez-vous vraiment ? Il ronge son frein, ils a une boule sur l’estomac. Sous le masque de l’obéissance git en vérité une gigantesque accumulation de matière inflammables, Non ce n’est pas un peuple servile, c’est une poudrière humaine. Après « AZF » et « Beyrouth », vous avez vu le danger qu’il-y-a à stoker trop de nitrate d’ammonium dans un même lieu. Il y a un danger bien plus grand à humilier et brimer les peuples trop et trop longtemps.

    Alors ils prennent les devants en voulant s’assurer de l’obéissance du peuple, avec toujours plus de règles, de lois, de masques et de brimades. Sylvie Bonaldi a parfaitement raison quand elle dit que l’obligation du port du masque a pour fonction de « mesurer la soumission du peuple et de le manipuler ».

    Il y a une incompatibilité totale entre cet acte d’obéissance qu’est l’acceptation du port du masque et l’acte de désobéissance majeur qu’est la révolte nécessaire contre les politiques économiques antisociale du pouvoir. La légitime révolte ne peut avoir lieu sans ce signal de la désobéissance qu’est le refus de porter le masque. Ceux qui ne le comprendraient pas, se rendraient complices des desseins de la dictature en marche.

    Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr ». Lundi 17 juillet 2020.

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