Il n’y avait pas de masques. Les stocks avaient été vendus à l’étranger ou détruits. Alors les pouvoir public, Président de la république en tête les disaient inutiles. (Ça c’est du factuel).

Mais tenant compte de certaines instances des autorités sanitaires et afin de maintenir sur la population la pression de « la terreur sanitaire » les pouvoirs publics se sont résolus à conseiller le port du masque ; Dès lors il fallait en produire. Il a été demandé aux 4 producteurs existants de monter leur production en puissance. Puis 4 projets industriels nouveaux ont été concoctés à l’initiative de l’Etat, qui a déjà commandé pour ses besoins propres (avec l’argent des contribuables bien sûr) un contingent de 1 milliard de masques. (Ça c’est de l’information que vous pouvez vérifier vous-même).

Mais les industriels qui ont acceptés de se lancer dans l’aventure, les banques qui les ont financés, vous devinez aisément qu’ils ont voulus prendre des garanties. Une épidémie ça ne dure en général qu’un temps très court. On ne va tout de même pas mettre en œuvre des capacités de productions gigantesques pour quelques semaines seulement, et voir retomber les ventes à leur niveau antérieurs sans que l’on ait rentabilisée la « mise ». (Là la réalité et la fiction copulent)

« Ça c’est notre affaire ont répondu les autorités. Nous vous garantissons un niveau de production suffisant sur une durée suffisante pour que vous soyez largement récompensé de votre bonne volonté. La crise sanitaire nous la prolongeront le temps qu’il faut et nous prendront les dispositions nécessaires pour garantir l’écoulement de la marchandise. (C’est ainsi que les masques inutiles sont devenus obligatoires.)

Dans ce cas, on dit les industriels et leurs acolytes banquiers, il va de soi messieurs dames « les autorités » que vous serez vous aussi remercié à la hauteur de votre engagement.
« C’est 5 millions d’Euros, pour chacun de nous ont répondu les « responsables non coupables » présents à la réunion, et 10 millions pour le chef. Voilà les numéros des comptes en paradis sur lequel ils seront versés dans les 10 jours. Les « décrets » utiles ne seront promulgués qu’après encaissement.

En matière de gros sous et d’affaires mafieuses la prudence est de mise.

Bon, vous l’avez compris, il s’agit là d’un petit conte, une simple fiction. Or, comme vous le savez « Fiction » et « réalité » sont des amants indissociables.