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  • LE MASQUE GLACE DE LA MORT

    LE MASQUE GLACE DE LA MORT

    Les victimes de la pandémie de « Covid 19 » ont été, sans conteste possible, nombreuses, trop nombreuses. C’est une disposition bien naturelle de l’humanité de haïr la mort et de trouver qu’elle fait toujours trop de dégâts. « Il faut bien mourir de quelque chose pourtant » disent en raillant les « bravaches ». Moi je ne suis pas d’accord, je voudrais mourir de rien. Pas même d’amour, c’est trop con. Ou pour être plus exact, je voudrais ne pas mourir du tout. Et pourtant, il est vrai, il faut bien s’y résoudre. Au terme, plus ou moins tardif de la « longue maladie » qu’est l’existence nous « plions tous un jour notre parapluie.

    Tient ! Mais d’où nous viens cette expression étrange : « plier son parapluie » ? Je ne l’ai pas trouvé. Mais elle est claire à mon sens. On passe sa vie à se cajoler, à se chouchouter, à se protéger, à s’abriter pour échapper aux orages et aux maladies. Puis un jour on cesse de se protéger, on accepte enfin le verdict que l’on croyait inacceptable, on « ferme son parapluie » pour aller s’assoir poliment à la droite de Dieu (au fait, pourquoi à sa droite ? Moi j’irais m’assoir à sa gauche…. Ou derrière.)

    Armure, protection, bouclier, parapluie, MASQUE !... Le masque avec lequel des décideurs d’en haut vous ordonnent de vous prémunir n’est rien autre qu’une protection tout comme un « parapluie » qu’il faudra bien se résoudre à remiser un jour. Oui, mais quand ? Au train où vont les choses collerez-vous un masque à vos enfants dès la naissance ? Devrez-vous vivre votre existence entière sous le masque en attendant que le masque de la mort vous fige définitivement le visage ?

    Alors, ainsi protégés la mort ne vous viendra peut-être pas du Corona virus, mais ne vous viendra-t-elle pas des deux salmonelles que vous aviez ingurgitées avec vos œufs du matin et mainte fois recyclées et multipliées dans l’intimité fétide de cet appendice facial ?

    Pas mort du Corona Virus ? Cela même reste à voir. C’est tout petit un virus et c’est vicieux. C’est tout petit : pas un seul matériau poreux, permettant tout de même de respirer ne présente une texture assez fines pour stopper le moindre virus. A moins de faire comme une « lumière » de ma connaissance, des masques en toile cirée et de mourir comme avec le corona, mais plus vite et plus surement « d’insuffisance respiratoire ».

    Non, le masque ne protège pas des virus, il évite seulement, si vous en êtes porteur que vous ne le dispersiez en postillons autour de vous. Il évite aussi que vous n’ingurgitiez les postillons qu’un ostrogot aurez l’inconvenance de vous cracher dans la bouche.

    Or, disant cela je ne nie en rien la dangerosité ni la « létalité » du « coronavirus ». Je prétends même que ses victimes sont en vérité bien plus nombreuses que ne l’affirme la comptabilité macabre à laquelle les médias ce sont prêté avec délectation pendant plusieurs semaines. Victimes du corona lui-même ou des folles politiques conduites en son nom. Il faudrait y ajouter en effet toutes celles collatérales du « confinement » et de la propagande officielle débile et anxiogène. Combien d’enfants battus, de femmes (ou d’hommes) violentées, combien plus de vieux morts d’isolement et de tristesse dans leurs EPADH qu’il n’y en eut du virus lui-même ? Combien de ces pauvres victimes de la barbarie comptabilisées, pour gonfler les chiffres, comme des victimes du covid ? Combien d’hypocondries latentes devenues pathogènes, conduisant à la dépression ou au suicide

    La catastrophe humanitaire et économique va dire toute sa vérité à la rentrée sociale de septembre. Cette réalité bien palpable va engendrer des angoisses et des colères terribles. Alors le gouvernement pense avoir trouvé une parade préalable. Lorsque le peuple s’agite rien n’est-il pas plus efficace en effet que de lui désigner un »leurre » à courir, une tête de turc, un ennemi à battre : Il peut s’agir alors « d’ un ennemi extérieur », « de sorcières de Salem », « de nègres marrons », de « judéo-bolchévique » ou de « l’immigré », Ou bien même d’un virus ! Certes ça ne s’était encore jamais fait. Mais pensez, le coup de génie, un ennemi omniprésent et invisible, dont les pouvoirs publics décident seuls, (car ils en ont la préscience), de la présence ou du degré de nuisance.
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    A la rentrée de septembre, après vous avoir tenu haletants sous le masque tout l’été, au prétexte de « la deuxième vague annoncée » pour l’automne ou l’hiver, il feront monter à nouveau en puissance les enchères de la terreur de la machine médiatique. Ils focaliseront, méthode hypnotique, anesthésiante, les attentions et les angoisses sur le retour probable de la pandémie, cependant qu’ils nous plumerons vivants, passeront en force toute les pires mesures antisociales (retraites) qu’ils ont gardé sous le coude. Tel est leur dessein machiavélique.

    Des centaines de milliers de chômeurs supplémentaires, des dizaines de milliers de petites entreprises réduites à la faillite, des milliers de familles disloquées, expulsées de leur logement, des dizaines de milliers qui vont choir dans la plus extrême pauvreté, des milliers de suicides. Les politiques aberrantes et barbares mises en œuvre au prétexte de lutte contre le « covid 19 » feront bien plus de victimes que n’en a fait la pandémie elle-même.

    Mais ils ont gardé en mémoire la saillie de Georgina Dufoix, ils se sont déjà absout, « ils sont « responsables mais pas coupables ». Tout çà c’est rien que la faute du méchant corona. »

    Ils savent que la situation pourrait devenir dans ce contexte, rapidement explosive. Ils ont pris les devants. Ils tentent de nous tétaniser avec le danger supposé d’une deuxième vague de « covid 19 », Ils veulent nous bâillonner avec « le masque ».

    Vous avez remarqué que j’ai maintes fois dans ce texte écrit « vous » quand j’aurai aussi bien pu écrire « nous ». C’est que pour ma part je ne suis pas concerné par le port du masque. J’ai pris la ferme résolution de le refuser. J’ai pris la ferme disposition de ne pas obéir aux délires « ubuesques » d’un pouvoir fou.

    Vous non plus ne vous laissez pas abuser plus longtemps; rebiffez-vous contre les dérives autoritaires,

    Tombez le masque, respirez à pleins poumons le grand air de la liberté et préparez-vous, je serai des vôtre, à mettre en échec les desseins machiavéliques de la bande à Macron.

    Songez-y ? Le visage c’est l’identité visible, le miroir où l’humanité se reconnait et se congratule. C’est l’ouverture, l’accueil et la convivialité. Le masque c’est le visage mutiléé, c’est la déshumanisation, c’est la bestialité en marche, c’est le sourire confisqué, les êtres transformés en fantômes, c’est le masque glacé de la mort qui saisit déjà le monde des vivants. .


    Patrick Seignon. « lavoiedessansvoix.fr ». Samedi 25 juillet 2020.
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