Le gouvernement s’est saisi de façon opportuniste de la crise sanitaire du « Covid 19 » pour faire passer sa politique antisociale et antipopulaire, donner libre cours à ses dispositions autoritaires, entraver les libertés publiques.

Il bénéficie dans cette entreprise maléfique de la complicité des autorités sanitaires nationales et internationales et d’une trop grande partie du corps médical tétanisé, tous pilotés par L’OMS et les lobbys des laboratoires à l’affut du « pactole du siècle ».

Un décret inique rentre en « rigueur » ce jour qui nous intime l’ordre de porter un masque dans les espaces clos. Il s’agit là d’un abus d’autorité sans rapport réel avec une prétendue persistance du virus. Ce serait bien la première épidémie du genre, qui dure toujours et ne s’arrête jamais.

Ils veulent entretenir la peur, on ne dispose jamais mieux que d’un peuple terrorisé.

Pour le plus grand profit des « Labos », is veulent administrer la preuve, dussent-ils la fabriquer, que l’on ne se débarrassera de cette pandémie qu’avec une vaccination généralisée
Ils préparent ainsi les esprits à une prochaine nouvelle montée en puissance de « la propagande anxiogène », des mesures arbitraires et coercitives dès les mois de septembre/octobre au prétexte d’un retour réel ou supposé de l’épidémie. Il s’agit en fait de « bâillonner » préventivement toute velléité de contestation. Comme un poulet tenir le peuple sous contrôle pendant qu’ils le plument vivant.

C’est par la terreur sanitaire que ce gouvernement entend gouverner à présent.

Nous ne sommes ni des poulets à plumer ni des moutons dociles. Nous refusons ces injonctions liberticides et autoritaires. Nous refusons de porter un masque où que ce soit, (sauf à nous protéger des gaz lacrymogènes des sbires de Macron). Nous voulons respirer sans entraves le grand air de la liberté. Nous refusons de nous faire bâillonner car nous voulons pouvoir, lorsque le temps en sera venu, hurler librement notre indignation et notre colère.

Ne nous laissons pas impressionner par la déferlante médiatique. Nous sommes plus nombreux qu’il n’y parait. Regroupons nous, prenons la parole, faisons connaitre nos raisons Serrons les rangs, ils grossiront dès-lors que nous nous ferons entendre.